Re: importance du mode majeur ou mineur

[Christophe Pochon]

Daniel : c'est mieux de faire "Répondre à tous" pour que tout le monde puisse profiter de la discussion :-)

Ok, ma réponse était orientée "Lilypond", mais si ta question est plus musicale, alors il y a bien d'autres réponses.

En voici déjà trois :

- En la mineur, il y a de fortes chances que la dernière note de la mélodie soit un la. 

- Les accords et cadences utilisés pour l'accompagnement vont aussi tourner autour de Lam, Rém, Mi7 (et sûrement d'autres, mais il y a de bonnes chances que ceux-ci soient de la partie)

- En la mineur, il y a beaucoup de chances qu'à un moment ou un autre dans la mélodie il y ait des sol# et des fa#

A bientôt,

Christophe

Christophe Pochon
http://www.christophe-pochon.com

Le 12 mars 2015 15:42, Daniel Cartron <address@hidden> a écrit :

Le jeudi 12 mars 2015 11:53:12, vous avez écrit :
> Il y a tout de même une différence, si on utilise certaines fonctions
> permettant d'afficher le degré d'une note par rapport à sa tonalité.

Oui je suis d'accord et j'avais déjà vu ça avec \displayMusic devant \key :

pour doM :

(make-music
  'KeyChangeEvent
  'pitch-alist
  (list (cons 0 0)
        (cons 1 0)
        (cons 2 0)
        (cons 3 0)
        (cons 4 0)
        (cons 5 0)
        (cons 6 0))
  'tonic
  (ly:make-pitch -1 0 0))

pour lam

(make-music
  'KeyChangeEvent
  'pitch-alist
  (list (cons 5 0)
        (cons 6 0)
        (cons 0 0)
        (cons 1 0)
        (cons 2 0)
        (cons 3 0)
        (cons 4 0))
  'tonic
  (ly:make-pitch -1 5 0))

je pense que les tes résultats sont issus des mm raisons que ce qui est écrit
ci-dessus ?

Ce que je me demande c'est à quoi ça sert vraiment, si on se contente d'écrire
de la musique traditionnelle, genre polka, scottish, valses, bourrées...

Quand je dis que du doM et du lam c'est pas pareil, et qu'on me répond "si, je
vois la mm chose à la clé" je n'ai rien à répondre.

Mais merci pour la démo.

--
Cordialement, Daniel Cartron
« Ma femme et moi avons été heureux vingt-cinq ans ; et puis, nous nous sommes
rencontrés. »
Sacha Guitry