Salut.
Ce n'est pas «courant», en effet.
Ça se rencontre surtout pour les asbl qui reçoivent des subsides de fonctionnement, en capital, ou pour un projet particulier.
Ex: Un subside pour rénovation, ou pour achat d'un bien à amortir. Comme la rénovation (s'il n'y a pas eu provision) ou le bien sera amortie, il est nécessaire d'amortir le subside au même rythme. C'est donc plutôt en 15... qu'on met le montant qui passera en 7 au fur et à mesure (équivalent de la dotation en 6).
Ça s'appelle parfois «amortissement».
Sans être certain que ce soit la procédure habituelle, cela permet aussi d'«amortir» facilement les réserves: si l'on a transféré une part du résultat à des réserves pour investissements, on «ponctionne» sur les réserves au fur et à mesure de l'amortissement des investissements.
En gros, ça vient à rassembler et automatiser des opérations qui ont tous les traits d'amortissements mais en produits; et qui, souvent, vont de paire avec (ou "compensent") des amortissements en charges.
L'avantage n'apparaît bien évidemment que quand le nombre de subsides, réserves, etc', pour des postes amortissables devient important, et qu'il faut passer les écritures pour chaque en fin d'exercices; exactement comme dans le cas de l'amortissement en charges.
Si qui que soit a les idées plus claires concernant ceci...
Je reviendrai avec les autres exemples que j'ai rencontrés. De toute façon, ce n'est rien de crucial.
y
Dany De Bontridder <address@hidden> wrote:
Salut ,
Techniquement ce n'est pas vraiment difficile à faire , mais d'un autre côté , je trouve que c'est un peu curieux . Je ne crois pas avoir rencontré de cas , produits à amortir ( class 7) .
Quelqu'un peut éclairer à ce sujet svp ?
Merci,
.D
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